
Printemps tardif, 1949
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1. Dans Kyoto Song (Gallimard, 2020), ce paragraphe sur Yasujiro Ozu.
« Répétitions des mêmes scènes, prises à chaque fois dans un agencement différent. La vie devient une seule et longue conversation entre amis, parents, voisins: la fille qu’on doit marier et qui ne veut pas laisser son père vivre seul, lui qui est resté si longtemps en deuil de sa femme. Le temps avance, les élèves se souviennent de leur professeur et l’invitent à dîner, ils boivent et reboivent, ils lui versent du saké et encore...
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