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[Un film franco-espagnol de Daniel Lesœur et Pedro Temboury,  48’, 2015] C'est ici, pendant quelques jours seulement Merci à JiPé  

Mes chouchous de 2022 1.    Quelques films (dans l’ordre où je les ai vus, revus ou re-revus) Sadko [Le Tour du monde de Sadko], Alexandre Ptouchko (URSS, 1953) King Kong, Merian C. Cooper et Ernest B. Schoedsack (États-Unis, 1933) Tales of Manhattan [Six destins], Julien Duvivier (États-Unis, 1942) Duel, Steven Spielberg (États-Unis, 1971) In Cold Blood [De sang froid], Richard Brooks (États-Unis, 1967) Great Expectations [Les Grandes Espérances], David Lean (Royaume-Uni, 1946) Moulin Rouge, John Huston... [Lire la suite]

Attention na sida, 1987  

[mci JiPé]

Sollicité par l’éditeur, l’ami Alain Petit [dont on aima beaucoup Jess Franco, ou les prospérités du bis, Artus 2015] rédigea une belle préface à l’ouvrage de Jess Franco, Les Mémoires de l’oncle Jess [Serious Publishing, traduit de l’espagnol et commenté par Edgard Baltzer, 450 pages joliment illustrées, 35 €]. Pour des raisons techniques, le texte d’Alain n’a pas trouvé sa place dans l’ouvrage. Le voici, in extenso. J’invite mes visiteurs à le faire circuler.   « Le Petit Jésus s’en va-t-à l’école / En portant sa croix... [Lire la suite]

Pere Portabella est né le 11 février 1929. Il a donc nonante ans, pile poil. Bon anniversaire.   Note sur Vampir-Cuadecuc (1971) : Vampir-Cuadecuc is possibly a key film in understanding the transition in the Spanish film world from the period of the "new cinemas" (permitted by the Franco government) towards the ilegal, clandestine or openly anatagonistic practices anainst the Franco regime. It consists of shooting the filming of a commercial film El conde Drácula by Jesús Franco. Portabella practices two typesof violence on... [Lire la suite]

Top Parade 2018, sous la houlette du tenancier que nous remercions de bien vouloir accueillir nos déviances. Une fois de plus, nous allons doser savamment un snobisme insupportable et des goûts douteux assumés avec une morgue incroyable mais qui a le mérite d’être sèche. Sans hiérarchie, ni ordre particulier Last Flag Flying [Un dernier pour la route], Richard Linklater (États-Unis 2017)Richard Linklater, le grand et le plus constant (dans la qualité) cinéaste américain depuis vingt ans. Stork, Tim Burstall (Australie 1971)La folie... [Lire la suite]

La notion de « plus mauvais film du monde », qui n’excite que les gens qui vont peu au cinéma, m’a toujours semblé malhonnête, snobinarde, parfaitement subjective et aussi inutile que celle de « meilleur film ». [Qui prétendra que Leon Errol est moins drôle qu’Omar Sy, le cinéma de Sokourov plus inspiré que celui d’Ed Wood, ou celui de Paul Thomas Anderson moins poseur que celui de Jean Gourguet ?] Considérons par conséquent que la surenchère contre The Room de Tommy Wiseau – au prétexte de la sortie du film de James... [Lire la suite]

Ciccio et Franco dans 00-2 agenti secretissimi, de Lucio Fulci 1964

Ayant été très occupé pour diverses raisons, je me suis assez peu rendu dans les salles l'année dernière. Néanmoins, je garde quelques souvenirs marquants de 2015 En premier lieu, deux immenses films que je n’arrive pas à départager : As Mil e Uma Noites [Les 1001 nuits], Miguel Gomes (Portugal-France, 2015) Mia madre, Nani Moretti (Italie, 2015) Puis deux films interprétés par Joaquin Phoenix: Inherent Vice, Paul Thomas Anderson (États-Unis, 2014) et Irrational Man [L’Homme irrationnel], Woody Allen (États-Unis, 2015) ... [Lire la suite]