glaz

L'énigme facile du jour. [Elle fera sourire Glaz, qui ne perd rien pour attendre.]

Ma vie sans moi, d’Isabel Coixet (Espagne, 2003) Efter brylluppet [After the wedding], de Susanne Bier (Danemark, 2006) Les témoins, d’André Téchiné (France, 2007) Les travailleu(r)ses du sexe, de Jean-Michel Carré (France, 2009) A Single Man, de Tom Ford (États-Unis, 2010) The Tree, de Julie Bertuccelli (Australie-France, 2010) Tomboy, de Céline Sciamma (France, 2011) [Crachons au passage sur les catho-névropathes intégristes qui veulent interdire Tomboy aux écoliers sous prétexte qu'il "cautionne" la théorie des... [Lire la suite]

le pianiste de jazz Horace Silver n'est pas mort CLIC Le service public quant à lui se porte bien. Merci. ~ « Song for my Father », 1968 [pour Glaz et son copain Michel]

« The Thrill Is Gone » (Lew Brown & Ray Henderson), c'est Glaz, de Sébastien-sur-Loire, qui m'en a parlé tout à l'heure au téléphone. Le blues est joué ici par Archie Shepp (tenor sax), John Hicks (piano), George Mraz (bass) et Idris Muhammad (drums), et a été enregistré le 7/12/1996 à New York. Il est extrait de l'album True Ballads publié par Tetsuo Hara sur son label Venus Records. On le réécoute, en remerciant shakaelel de l'avoir déposé sur YT.

L'ami Glaz, de Saint-Sébastien sur/Loire, vient de m'envoyer ceci. [ Un mur de la rue des Carmes (ou rue de l'Archevêque), à Nantes, 20/3/2013. ] Ce qui suit n'a rien à voir, mais quand je pense qu'à l'instant où j'écris ces lignes, deux clowns blancs grimaçants se livrent à une partouze HISTORIQUE...

clin d'oeil matinal à Glaz, de Saint-Sébastien sur/Loire

Le vocable Glaz apparut dans la première vignette de la première planche de Oumpah-Pah. Mission secrète, de René Goscinny (scénario) et Albert Uderzo (dessin), 1962 [Dargaud pour la France, Le Lombard pour la Belgique]. L'aventure se déroule dans la France de Louis XV. Cette planche I montre Oumpah-Pah et Hubert de la Pâte Feuilletée débarquant dans un port de la côte bretonne.

V for Vendetta, de James McTeigue (États-Unis) Prometheus, de Ridley Scott (États-Unis) Fish Tank, d’Andrea Arnold (Royaume-Uni) Hugo, de Martin Scorsese (États-Unis) ~ Dans la maison, de François Ozon (France) Pauline détective, de Marc Fitoussi (France) Du vent dans mes mollets, de Carine Tardieu (France) Argo, de Ben Affleck (États-Unis)

David, un des destinataires de mon post starring François Bon et ses souvenirs du mellotron, nous fait la gentillesse de nous faire écouter cette chanson magnifique de Robert Wyatt, qui donne de la voix et des claviers (dont le mellotron) au sein du groupe qu'il créa après sa rupture avec Soft Machine. « O Caroline » (1972)   [Glaz va aimer ça.] Phil Miller (guitare), David Sinclair (piano, orgue), Bill MacCormick (basse)Robert Wyatt (batterie, voix, mellotron, piano)

A mort le foot ~ 16 juin 1986 Voici bientôt quatre longues semaines que les gens normaux, j'entends les gens issus de la norme, avec deux bras et deux jambes pour signifier qu'ils existent, subissent à longueur d'antenne les dégradantes contorsions manchotes des hordes encaleçonnées sudoripares qui se disputent sur gazon l'honneur minuscule d'être champions de la balle au pied. Voilà bien la différence entre le singe et le footballeur. Le premier a trop de mains ou pas assez de pieds pour s'abaisser à jouer au football. Le... [Lire la suite]