
[Cf. ICI]
« Les hommes – sauf les rares jeunes – étaient partis trop longtemps. Après une courte lune de miel au retour, la retraite leur était difficile. Toujours à gêner à la manœuvre de la maison, ils devenaient presque des intrus. Beaucoup de couples, ayant vécu en veille éloignée, n’’arrivaient plus, sur le tard, à se faire. Les maris, évanescents, ne trouvaient ni consistance ni place chez eux. C’était les femmes elles-mêmes qui construisaient la maison autour des mâts trouvés, comme en atteste la beauté des ruines...
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