29 novembre 2019

Lectures pour tous : Edmond T. Gréville

« Paul n’avait pas épousé l’Idéal parce que l’Idéal s’appelait Cunégonde. Par euphonie ou par dépit, à moins que ce ne fût pour nul motif sensible, il avait épousé Léatrice. [...] Paul n’est d’ailleurs pas le héros de cette histoire, mais l’ami du héros, qui pour des raisons encore mal définies, s’appelle Ivor. » Edmond T. Gréville, Supprimé par l’ascenseur, 1924 [réédition Institut Lumière/Actes Sud, 1995]
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17 octobre 2019

Lumière 2019, 11

Retour à Gréville Napoléon a écrit dans ses Mémoires (p.224) : "Junot revint avec une hampe où pendaient des morceaux de ganse..." Il nous avait bien semblé que ça remontait loin.
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16 octobre 2019

Lumière 2019, 9

"La femme est le feu, l'homme est l'étoupe, et le diable souffle." [proverbe grévillien] Le diable souffle, de Edmond T. Gréville, 1947, est un sommet du cinéma français de l'immédiat après-guerre. En tout cas le film le plus novateur présenté cette semaine à Lyon. Une production La France en Marche (sans blague), photographiée par Henri Alekan, avec Héléna Bossis, Charles Vanel et Jean Chevrier.
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23 septembre 2010

Hotties Reading 165

Les Mains d'Orlac, Edmond T. Gréville, 1960 [ merci Ph!l ] ~ Autre main, dans le même film. Christopher Lee (Néron) et Dany Carrel (Li-Lang)
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