hooper

films censurés, films retrouvés The Last Movie, Dennis Hooper 1971 [Quelques décennies plus tard, on se demande si Hooper mérite toujours sa réputation d'imposteur, et The Last Movie celle d'un des "cinquante plus mauvais films du monde" (Medved). Cet après-midi, on jugera sur pièces.]

Notre rubrique "Hommage au correcteur invisible" - Le Monde 29/8/2017  

Pina, de Wim Wenders Une séparation, de Asghar Farhadi The Housemaid [La Servante], de Im Sang-soo We Need to Talk about Kevin, de Lynne Ramsay L’Art d’aimer, d’Emmanuel Mouret L’Apollonide, souvenirs de la maison close, de Bertrand Bonello La Source thermale d’Akitsu, de Kijû Yoshida (1962) The King’s Speech, de Tom Hooper Melancholia, de Lars von Trier Bal [Miel], de Semih Kaplanoglu La guerre est déclarée, de Valérie Donzelli Black Swan, de Darren Aronofsky Tanzträume [Les rêves dansants. Sur les pas de Pina... [Lire la suite]

Du frisson originel à la répétition ludique « La sortie de Scream 4, de Wes Craven, habile mise en abyme du film d'épouvante contemporain, semble tomber à pic pour favoriser une réflexion sur l'évolution du genre. A partir de quand une forme cinématographique commence-t-elle à se contempler elle-même, à entrer dans une phase d'épuisement de son énergie pour devenir son seul et unique sujet ? « Susciter la peur du spectateur est une entreprise aussi vieille que le cinéma lui-même, et la rhétorique de l'épouvante filmée s'est... [Lire la suite]

« Hotel Green (Entrance) », ready-made signé Marcel Duchamp/Dennis Hopper, 1963 ~ « En 1963 s'est tenue à Pasadena la première et unique rétrospective de Marcel Duchamp, un artiste très important pour moi. Andy Warhol, Jasper Johns, Robert Rauschenberg, Ed Ruscha, tous les artistes de Los Angeles et New York ont convergé vers cette exposition ; Duchamp logeait à l'Hôtel Green, et le soir du vernissage, j'ai vu cette enseigne "Hotel Green Entrance". Le doigt pointé m'a impressionné, parce que je l'avais vu dans une... [Lire la suite]