lewis

Ça chauffe à La Rochelle.   Vu ce midi une copie restaurée brillamment multicolore d'un film de notre cinéaste pop préféré. Artists and Models est peut-être le meilleur de Tashlin (Frank), son association avec Jerry Lewis est parfaite (où l'on commence à se rendre compte que Jerry n'est plus le faire-valoir de Dino, mais l'inverse), les gags régressifs de l'acteur toujours au service du scénario ô combien subversif du cartooniste Tashlin, les plus belles filles de la Paramount et leurs gambettes à foison satisfont les... [Lire la suite]

My Name is Julia Ross de l'admirable Joseph H. Lewis (1945)

« You're speaking my language » 26/5/2007, Pinkpop Festival, Landgraaf (NL) [avec un salut frternel à El & Al de Mortier qui, presque les premiers...] ~ mais, quatorze ans plus tôt, Depp, DiCaprio, Lewis (What's Eating Gilbert Grape)  

Jerry Lewis a 86 ans. Il n'a pas pris une ride. Ici, en Morty S. Tashman dans The Errand Boy (Le Zinzin d'Hollywood), 1961.

Smörgasbord (ou Cracking Up), 1983, est à ce jour le dernier long métrage réalisé par le génie de Newark (New Jersey). Quatre visions du film m'ont suffi pour décider de ne plus fumer. Il est écrit par Bill Richmond, le complice éternel, scénariste de huit ou dix des meilleurs Jerry, et l'une des âmes damnées du Jerry Lewis Show sur ABC puis NBC.

« Tu trembles, carcasse, mais tu tremblerais bien davantage si tu savais où je vais te mener. » Henri de la Tour d'Auvergne, vicomte de Turenne, pendant la bataille de Salzbach, à la tête des armées de Louis XIV face à son vieil ennemi l'Italien Raimondo Montecuccoli. Turenne, qui est né le 11 septembre 1611, sera tué au plus fort de la bataille par un boulet de canon. [Le boulet assassin (on ne rit pas) est exposé au Musée de l'Armée à Paris et au Musée Turenne à Salzbach (Allemagne).] Ce billet d'histoire... [Lire la suite]

« Je n'ai jamais compris pourquoi les gens disent que les clowns sont tristes. » [Fiona Gordon, actrice et coréalisatrice de La Fée, à la dernière soirée des Magritte, en mai.] On peut poser  la question à Jerry Lewis, à Pierre Etaix, à Raphael et à Alex De La Iglesia.  Raphael dans Sin un adios (Vicente Escriva, 1970), « Balada triste de la trumpeta »

Teresa Lewis Pas vu passer beaucoup de pétitions pour la sauver des barbares de Téhéran... Oh, pardon. De Richmond, Virginie (Etats-Unis)

J’ai demandé à quelques amis et comparses d’établir la liste de leurs 25 albums de jazz préférés. (...) Pour voir l'historique de la série, cliquer sur "jazz 25", dans les tags, au bas du présent billet. Pour le mode d'emploi, cliquer ICI.  Aujourd'hui : Catlover ~ Heitor Villa-Lobos, « Bachianas Brasileiras », S(3)CD EMI 7479018, enregistré en 1984, 1985, 1986. Je sais ! Ce n’est pas du jazz, mais c’est mon disque préféré et si un jour vous passez chez moi vous risquez fort d’entendre Bachianas... [Lire la suite]

Reçu ce communiqué de « Il Étaix une fois » : L'association Il Étaix une fois est heureuse de vous annoncer la fin heureuse et définitive de l'imbroglio juridique qui bloquait depuis de nombreuses années la ressortie des films de Pierre Étaix. La restauration des négatifs a ainsi pu reprendre, en vue de la ressortie prochaine de l'ensemble des films de Pierre Étaix (il y aurait même un court métrage « inédit »). Une bonne nouvelle n'arrivant jamais seule, nous avons l'immense plaisir de vous annoncer la sélection du film... [Lire la suite]