
Sacrifions maintenant au rite un peu glauque de la liste de nos petits préférés, dans la masse des films visionnés en 2008. Comme on le dit çà et là, l'année ne fut pas des plus grandioses. Lorsqu'on a évacué de ce corpus de quatre cents films :
tout ce qui est antérieur aux derniers Lubitsch, Cukor et Minnelli ;
tout ce qui est signé Pierre Etaix et que je ne puis, au risque d'être jeté en prison par les sbires de producteurs procéduriers, prétendre avoir vu cette année-là ;
tout ce qui est l'objet de rééditions numériques...
[Lire la suite]