
« Le tour de force du capital, c'est d'avoir convaincu qu'il n'est responsable d'aucune des conséquences que son iniquité a instaurées. Qu'il soit ici en excédent et qu'il manque là, n'est rien dont on puisse l'accuser puisqu'il n'y a pas jusqu'à lui qui ne puisse s'en plaindre (et qui ne s'en plaigne; n'affirme-t-il pas que, s'il ne tenait qu'à lui, c'est tous qui en jouiraient?). C'est le tour de force du capital d'en avoir convaincu y compris ceux qu'il prive le plus, qui ne savent plus dès lors contre qui se retourner. Et qui,...
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