08 janvier 2023

Nos films préférés en 2022 : Molly Louvain

1. The Fabelmans, Steven Spielberg (États-Unis, 2022) 2. The Banshees of Inisherin [Les banshees d’Inisherin], Martin McDonagh (Irlande, 2022) 3. Rétrospective. Vingt-deux films de Douglas Sirk. Rien à jeter. 4. Lumière ! Le cinématographe 1895-1905, Louis Lumière [avec Thierry Frémaux et Bertrand Tavernier] (France 2016) 5. Khers nist [Aucun ours], Jafar Panahi (Iran, 2022) 6. Le petit Nicolas : qu’est-ce qu’on attend pour être heureux ?, Amandine Fredon et Benjamin Massoubre (France, 2022) 7. Rifkin’s... [Lire la suite]

19 octobre 2019

Lumière 2019, 13

Lumière 2019, dernier plan avant Saint-Exupéry
Posté par charles tatum à 05:29 - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : , , , ,
18 octobre 2019

Lumière 2019, 12

Le film du début de l'après-midi Le Dernier Sou d'André Cayatte est un film épatant, une espèce de petit film noir, une vraie révélation. C'est le tout dernier film de la Continental, quoique distribué au lendemain de la Libération. (Tourné en 1943, il est sorti en janvier 1946 dans l'indifférence générale.) C'est une histoire d'aigrefin: des histoires d'escroquerie, ça donne souvent lieu à des films légers, mais là, pas du tout, le récit devient de plus en plus noir, y compris dans le dernier tiers plein de scènes nocturnes. Il... [Lire la suite]
Posté par charles tatum à 13:38 - - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : , , , , , , ,
17 octobre 2019

Lumière 2019, 10

Au risque de déplaire, mais en restant poli, on dira que Chicuarotes, long métrage réalisé par Gael Garcia Bernal, morale élastique et voyeurisme gênant, est le caprice coûteux d'un acteur-enfant gâté et réputé cabotin. Ou qu'il s'agit d'un nouveau chapitre, globalement dénué d'intérêt, de "Le Mexique contemporain pour les nuls" à l'usage des gens d'ici. Comparé à Bernal, ses camarades Innaritu et Cuaron font figure d'innovateurs. C'est dire.
Posté par charles tatum à 17:11 - - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : , , , , ,
16 octobre 2019

Lumière 2019, 9

"La femme est le feu, l'homme est l'étoupe, et le diable souffle." [proverbe grévillien] Le diable souffle, de Edmond T. Gréville, 1947, est un sommet du cinéma français de l'immédiat après-guerre. En tout cas le film le plus novateur présenté cette semaine à Lyon. Une production La France en Marche (sans blague), photographiée par Henri Alekan, avec Héléna Bossis, Charles Vanel et Jean Chevrier.
Posté par charles tatum à 16:54 - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : , , , , , , ,
16 octobre 2019

Lumière 2019, 8

Petites nouvelles du commerce de détail. Parmi les invités du 1er Marché international du Film classique hébergé par l'Institut Lumière, Peter Becker est venu présenter le travail de Criterion, la Rolls-Royce new-yorkaise de l'édition DVD-Blu-ray créée il y a trente-cinq ans par son père, William Becker. Aucune angoisse du marché peau-de-chagrin pour Criterion, qui vise les cinéphiles et les chercheurs - "ceux-là même qui veulent de beaux objets et gardent les films comme ils ont des livres dans leur bibliothèque". Le numéro 1000 de... [Lire la suite]
Posté par charles tatum à 08:58 - - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : , , , , , ,

15 octobre 2019

Lumière 2019, 7

Dans la série "Forbidden Hollywood" proposée à Lyon : Jewel Robbery (William Dieterle, 1932) est une comédie légère et amorale, une arsène-lupinerie viennoise (ainsi disait ce matin notre excellent maître de cérémonie Bertrand Tavernier) farcie de dialogues à sous-entendus grivois, d'audaces vestimentaires et de quiproquos que la morale réprouve. [Ouf, le Code de production n'allait pas tarder à y mettre de l'ordre.] Kay Francis y est aussi délicieuse que dans le génial Trouble in Paradise qu'elle tourna presque simultanément avec... [Lire la suite]
Posté par charles tatum à 18:58 - - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : , , , , , ,
15 octobre 2019

Lumière 2019, 6

Une brève histoire d'amour (Woomuk-Baemi ui sarang), Jang Sunwoo, 1990. Dans le programme concocté par Bong Joonho pour Lumière 2019. Derrière le miracle économique coréen, les sweatshops de grande banlieue et les ratés de la modernité. Mais Jang n'est pas Wang Bing, et s'intéresse autant aux faiblesses de ses personnages qu'au fatum imposé par le libéralisme. Cruel et sarcastique, tendre et drôlatique, son film oscille entre Renoir ("Tout le monde a ses raisons") et Scola (période Affreux, sales et méchants).  
Posté par charles tatum à 11:10 - - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : , , , , ,
15 octobre 2019

Lumière 2019, 5

A Lyon, de bons vieux films, et un peu d'air frais
Posté par charles tatum à 09:47 - - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : , , ,
14 octobre 2019

Lumière 2019, 4

Lors de la sortie de Piège pour Cendrillon, Dany Carrel et Madeleine Robinson m'avaient laissé une très forte impression. Les dialogues de Jean Anouilh et l'intrigue tarabiscotée de Japrisot beaucoup moins, mais c'est normal : j'avais quatorze ans. On verra tout à l'heure, à Lumière (Lyon), ce qu'il en reste.
Posté par charles tatum à 14:42 - - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : , , , , ,