
« N’étant pas critique littéraire, je ne m’aventurerai pas trop loin dans une réflexion sur la conscience esthétique dans les œuvres de Mishima; je dirai simplement qu’elle diffère radicalement de la mienne. Ou plutôt: que cette conscience, dans mon processus de création et dans celui ce Mishima, ne se situe pas du tout sur le même plan. Au cours de notre entretien, il m’a dit qu’il ne comprenait pas Été japonais: double suicide. À cela, rien d’impossible: comment, avec la conscience esthétique de Mishima, comprendre quoi que...
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