
La dernière page de Siné Hebdo, cette semaine, s'coue un peu la routine où le canard a l'air de s'enfoncer doucettement. La Gabin y célèbre la foutriqueuse Journée de la femme, sans essayer de nous vendre (comme la première chienne de garde venue) un pensum arthritique sur "les damnées de la Terre, mes sœurs". Il est vrai que La Gabin possède quant à elle, et elle ne fait pas semblant, du cœur, des couilles et de l'humour. Voilà une plume à qui je confierais volontiers une page par semaine si j'étais rédactrice en chef d'un...
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