
« Mais des sanglots jaillissaient sans fin de mes lèvres couvertes de boue et se répercutaient dans l’air sombre et humide, révélant ma cachette au forgeron et à son acolyte qu se démenaient bien plus bas, à ma recherche, avec des cris, ainsi qu’aux villageois excités par un désir de meurtre. Pour contenir mes sanglots, je haletais en ouvrant la bouche, comme un chien. Je scrutai la nuit sombre et me préparai aux attaques des villageois en saisissant une pierre dans mon poing glacé. Mais, au début, je ne savais comment faire...
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