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Dans le bocage nantais [Notre-Dame-des-Landes], ce matin du 17 mai 2018 [photos Rémi Barroux]

Nul ne l'ignore, les forces armées de Collomb-Macron - près de trois mille gendarmes et policiers, dit-on - ont entrepris ce matin, avant l'aube, d'évacuer [salut Big Brother] la zad de Notre-Dame-des-Landes. Communiqué des zadistes publié tout à l'heure. L'heure est à la mobilisation. ~ "Conjurée des années durant par le mouvement, une nouvelle tentative d’expulsions sur la zad de Notre-Dame-des-Landes a commencé. Dès 3h du matin, l’opération s’est déployée dans toute sa brutalité: interminables files de fourgons bleu marine,... [Lire la suite]

17 janvier 2018 Le gouvernement français décide d'abandonner le projet d'aéroport à Notre-Dame-des-Landes    ~

Tapis dans le bocage : la vérité sur les armes secrètes des "zadistes" (communiqué)  Alors que l'hypothèse d'un abandon officiel du projet d'aéroport se dessine enfin, on assiste en parallèle à une campagne politique et médiatique de diabolisation des "zadistes". A partir de quelques photos et informations diffusées par des services de gendarmerie, nous voyons, depuis quinze jours, enfler des fables reprises sans aucune gêne d'articles en plateau télé par une cohorte d'"analystes", élus et journalistes. Ceci sans que les uns... [Lire la suite]

Sens numéro un. Lundi 14 novembre, la distance de la Lune à la Terre est à son minimum (356 509 km). On n'avait pas connu cela depuis 1948. Sens numéro deux. Le projet d'aéroport de Nantes/Notre-Dame-des-Landes n'a jamais été aussi proche des poubelles de l'histoire, sa place légitime. Nous connaîtrons en début d'après-midi la décision de la cour administrative d'appel de Nantes. Elle se prononcera sur la validité d'arrêtés préfectoraux permettant de démarrer le chantier. Les juges pourront (comme en première instance, en juin... [Lire la suite]

Lundi 7 novembre, fin de journée. Comme prévu : "Notre-Dame-des-Landes : le rapporteur public demande l’annulation des autorisations de travaux. (Jugement dans deux à trois semaines.)" Comme on a dit. Étape suivante : démontrer la non-recevabilité du referendum scélérat de juin dernier.