
« Comme il est mal habitué, comme il se prépare au sang humain celui qui à un petit veau, de son couteau, coupe la gorge, offre ses oreilles insensibles aux mugissements.
Ou celui qui peut égorger un chevreau qui pousse des vagissements de bébé, ou celui qui se nourrit de l’oiseau à qui il a donné à manger ! On est à combien, ici, du crime complet ? Jusqu’où est-on prêt à aller ?
Que le bœuf laboure, qu’on attribue sa mort à ses vieilles années.
Que la brebis nous offre des armes contre Borée, que les chèvres...
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