27 avril 2022

14 ans et toutes ses dents

Toujours vigilant, Gashade me signale un anniversaire. Je l'en remercie. Le 27 avril 2008, Sus au vieux monde ouvrait ses portes. Les héros de ce premier post, intitulé Sashimi, étaient Yasujiro Ozu, Jean-Pierre Jackson et Josiane Pinon-Kawakaté.
Posté par charles tatum à 10:42 - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : , , , , ,

08 septembre 2021

Hotties Reading 694

Takeshi Sakamoto dans Hogaraka ni ayume (Marcher joyeusement), Yasujiro Ozu 1930
Posté par charles tatum à 00:38 - - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : , , ,
24 janvier 2021

Nos films préférés en 2020 : Jean-Marie Buchet

Shan he gu ren (Au-delà des montagnes), de Jia Zhangke (Chine, 2015) Comanche Station, Bud Boetticher (États-Unis, 1960) Nollywood Babylon, de Ben Addelman & Samir Mallal (Canada, 2008) An, de Naomi Kawaze (Japon, 2015) Ceiling Zero (Brumes), de Howard Hawks (États-Unis, 1936) Riot in Cell Block 11 (Les Révoltés de la cellule 11), de Don Siegel (États-Unis, 1954) The Land Beyond the Sunset, de Harold M. Shaw (États-Unis, 1912) Lady Wintermere’s Fan (L’éventail de Lady Wintermere), de Ernst Lubitsch (États-Unis, 1925) ... [Lire la suite]
18 janvier 2021

Nos films préférés en 2020 : Gashade

It’s A Wonderful Life (La vie est belle), Frank Capra (États-Unis, 1946) The Gambler (Le Flambeur), Karel Reisz (États-Unis, 1974) Ballada O Soldatje (La Ballade du soldat), Grigori Tchoukraï (URSS, 1959) J’accuse, Roman Polanski (France, 2019) Only Angels Have Wings (Seuls les anges ont des ailes), Howard Hawks (États-Unis, 1939) Kohayagawa-ke no aki (Dernier Caprice/L’Automne de la famille Kohayagawa), Yasujiro Ozu (Japon, 1961) Zulu (Zoulou), Cy Endfield (Royaume-Uni, 1964) De bruit et de fureur, Jean-Claude... [Lire la suite]
24 décembre 2020

Herbes flottantes

浮草, Ukigusa [Herbes flottantes], Yasujiro Ozu 1959 [des millions de mercis à Jean-Pierre Jackson, passeur/éditeur]
Posté par charles tatum à 11:24 - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : , , ,
19 avril 2020

Lectures pour tous : Colette Fellous

Printemps tardif, 1949 ~ 1. Dans Kyoto Song (Gallimard, 2020), ce paragraphe sur Yasujiro Ozu. « Répétitions des mêmes scènes, prises à chaque fois dans un agencement différent. La vie devient une seule et longue conversation entre amis, parents, voisins: la fille qu’on doit marier et qui ne veut pas laisser son père vivre seul, lui qui est resté si longtemps en deuil de sa femme. Le temps avance, les élèves se souviennent de leur professeur et l’invitent à dîner, ils boivent et reboivent, ils lui versent du saké et encore... [Lire la suite]
Posté par charles tatum à 08:30 - - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : , , , , , ,

23 janvier 2020

Kinuyo Tanaka (1910-1977) à Locarno

Du 5 au 15 août prochains, le festival de Locarno rendra hommage à la grande Kinuyo Tanaka, réalisatrice (elle tourna six films, dont on nous promet la redécouverte au bord du lac) et actrice (plus de deux cents films à son actif avant et après l'arrivée du son, sous la direction de Mizoguchi, Ozu, Kinoshita, Gosho, Shimizu et de bien d'autres). C'est la bonne nouvelle du jour. Il en faut. Quatre images: Femmes et voyous (Yasujiro Ozu, 1933), La vie d'O'Haru femme galante (Kenji Mizoguchi, 1952), La ballade de Narayama (Keisuke... [Lire la suite]
Posté par charles tatum à 11:47 - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : , , , , , , , , ,
15 juin 2019

Lectures pour tous : Frodon, Ozu, Dardigna

Lectures pour un week-end d'automne Treize textes courts de Frodon sur autant de films d'Ozu, dans la maquette élégante de 202 éditions [Maurice Darmon] ~ Réédition d'un Maspero "Cahiers libres" oublié de 1974, préfacé par une féministe d'aujourd'hui et, comme moi, fan de Midge Maisel 
Posté par charles tatum à 13:33 - - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : , , , , ,
06 janvier 2018

nos films préférés en 2017 - Jean-Marc Toussaint

1. A Ghost Story, David Lowery, USA 2017 Parce que c’est aussi audacieux que minimaliste, parce que ça prend son temps au point qu’on dirait que l’esprit d’Ozu flotte sur la production. Parce que, même coiffé d’un drap blanc, Casey Affleck n’est jamais ridicule. Parce que c’est beau et triste. 2. Dunkirk, Christopher Nolan, USA 2017 Parce que c’est sec comme un coup de Mauser, parce que ça vous prend aux tripes. Parce que ça manipule le temps de façon ludique et que chaque nouvelle vision révèle de nouveaux indices. Parce que... [Lire la suite]
28 janvier 2016

Nos films préférés en 2015 : Gashade

Stars in My Crown, Jacques Tourneur (États-Unis, 1950) Petites filles inconnues Le petit prince a dit, Christine Pascal (France, 1992) Marie Kleiber Tiger Bay, J. Lee Thompson (Royaume-Uni, 1959) Horst Buchholz, Hayley Mills Crime Wave [Chasse au gang], Andre De Toth (États-Unis, 1954) Charles Bronson, Phyllis Kirk, Ted de Corsia, Gene Nelson Listen to Britain, Humphrey Jennings (Royaume-Uni, 1942) Femme inconnue Banshun [Printemps tardif], Yasujirô Ozu (Japon, 1949) Chishû Ryû, Setsuko Hara The Brides of... [Lire la suite]