
« Comme d’autres attendent Godot (Mekas définissait The Connection comme un En attendant Godot de la drogue), un groupe de junkies attend dans une piaule sa connection, comprendre son dealer. Mais le film de Shirley Clarke n’est pas qu’une version pellicule de la chanson "Waiting for my Man" du Velvet Underground. C’est aussi un film dans le film, puisqu’un cinéaste désirant tourner un documentaire sur les toxicomanes est aussi présent. D’où un rapport ambigu à l’image, entre documentaire et théâtre (le film est tiré d’une...
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