
« Notre collaborateur Benjamin Péret injuriant un prêtre. »(La Révolution surréaliste, décembre 1926)
« Dans ce mince recueil explosif, Benjamin Péret laisse éclater sa colère, maniant l’invective, l’insulte et le dénigrement avec une rare violence. L’outrance des images, la brutalité du propos visant le clergé, les flics, l’armée et les politiciens ne se donnent aucune limite, aucun frein. Rien ne semble arrêter sa rage destructrice, portée à l’incandescence. On ne peut s’empêcher de rapprocher cette violence de Je ne...
[Lire la suite]