roland

Acht Stunden sind kein Tak 1. Jochen und Marion [Huit heures ne font pas un jour] 1972

« Marilyn. Mais j’ai oublié de te raconter mon rêve. Mélissa. Oui, le rêve ? Marilyn. C’était le matin, très tôt. Le sex-show n’avait pas été détruit, il n’y avait ni grue, ni terrain vague, ni promoteurs immobiliers véreux. Il était juste devenu un champ. Un grand pré, en fait, et toi et moi on y élevait des petits ânes, tous très bien membrés. Mélissa. Oh, quel cauchemar ! Pour moi, je n’aime ni les animaux, ni le matin tôt. Marilyn. Un type est descendu du bus (il y avait toujours un arrêt à côté), très chic.... [Lire la suite]