21 septembre 2012
Hotties Reading 216

18 septembre 2012
Sapphie ~ Richard Youngs

16 septembre 2012
Led Zeppelin Celebration Day, 17 oct

13 septembre 2012
Ce soir on danse, avec « Les Softs Machines »
25/8/1968, sur les ondes de la télévision française. « Ce soir on danse » [réalisé par Guy Job]
avec Les Softs Machines et leur musique expérimentale
Robert Wyatt ~ Mike Ratledge ~ Kevin Ayers
« A Certain Kind », « Save Yourself », « Lullabye Letter », « Hope for Happiness »
09 septembre 2012
Matching Mole
David, un des destinataires de mon post starring François Bon et ses souvenirs du mellotron, nous fait la gentillesse de nous faire écouter cette chanson magnifique de Robert Wyatt, qui donne de la voix et des claviers (dont le mellotron) au sein du groupe qu'il créa après sa rupture avec Soft Machine.
« O Caroline » (1972)
[Glaz va aimer ça.]
Phil Miller (guitare), David Sinclair (piano, orgue), Bill MacCormick (basse)Robert Wyatt (batterie, voix, mellotron, piano)
26 août 2012
David Sylvian + Derek Bailey / The Good Son
David Sylvian (voix, guitare, électronique), Derek Bailey (guitare)
extrait du disque Blemish (SamadhiSound, 2003)
[merci à Glaz]
16 août 2012
Gavin Bryars et le clochard « céleste » de Jesus' Blood Never Failed Me Yet
version intégrale, originale, sans "visuel" inutile [ olidez ]
~
Gavin Bryars raconte :
« In 1971, when I lived in London, I was working with a friend, Alan Power, on a film about people living rough in the area around Elephant and Castle and Waterloo Station. In the course of being filmed, some people broke into drunken song - sometimes bits of opera, sometimes sentimental ballads - and one, who in fact did not drink, sang a religious song "Jesus' Blood Never Failed Me Yet". This was not ultimately used in the film and I... [Lire la suite]
27 juillet 2012
Londres. Security first

14 juillet 2012
Dwoskin, Stephen (3) Le dernier cinéaste, par Skorecki, 1982
Quand Louis Skorecki croyait encore (un tout petit peu) au cinéma, il écrivait ceci :
« Dwoskin est inexplicable. Au-delà de l’analyse, de la description, de l’exégèse. Avec une aisance impertinente, inédite réellement radicale, il excède les paroles structurées, intelligentes, intelligibles, qui pourraient se proférer sur ses films. Tant de précaution oratoire pour arriver à ceci: tout ce que je veux annoncer – oui, comme une bonne nouvelle, une surprise de dernière heure – c’est que la mort du cinéma est momentanément... [Lire la suite]