
« La maîtresse de maison regarde son mari, comme on regarde une cuvette cassée ou une fenêtre déglinguée par l’ouragan. Elle ne remarque sur son visage que la rouille du temps, l’impitoyable passage des saisons, l’insondable va-et-vient des heures. C’est la figure d’un homme qui vieillit, auprès duquel il y a longtemps qu’elle n’a plus envie de rêver. » [...] « Le maître de maison regarde ses mains et découvre que dans le creux qu’il y a entre elles tient le cou du maître d’école, sa langue violette pendant sur un côté...
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