
« Le Croisic, 1912. Las des rumeurs de Paris, je viens me reposer au Croisic.
Après un voyage, si court soit-il, de l’eau chaude, un lit frais, vous sont choses précieuses. J’en use, et, la fenêtre ouverte, je respire l’air pur ; je rêve, et j’attends le sommeil. Ma tête, emplie des bruits de la cité, va trouver au port de pêche un calme délicieux.
Dieu ! que les oiseaux de mer sont bavards ! et les marins, c’est effrayant !
Dépaysé, jamais je n’ai si mal dormi. »
~
« Rome, Auguste. Pollion...
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