scott

1. Mildred Pierce, de Todd Haynes (États-Unis) 2. Holy Motors, de Léos Carax (France) 3. Vous n’avez encore rien vu, d’Alain Resnais (France) 4. Les Invisibles, de Sébastien Lifshitz (France) 5. À perdre la raison, de Joachim Lafosse (Belgique-France) 6. Harsh Times (Bad Times, 2005), Street Kings (Au bout de la nuit, 2008), End of Watch (2012), de David Ayer (États-Unis) 7. De rouille et d’os, de Jacques Audiard (France) 8. Lawless, de John Hillcoat (États-Unis) 9. Killer Joe, de William Friedkin (États-Unis) 10. Pusher... [Lire la suite]

1. Troy (Troie), de Wolfgang Petersen (2004, États-Unis) 2. Halloween (La Nuit des masques), de John Carpenter (1978, États-Unis) 3. The Fog (Fog), de John Carpenter (1980, États-Unis) 4. Night of the Living Dead (La Nuit des morts-vivants), de George A. Romero (1968, États-Unis) 5. Super 8, de J.J. Abrams (2011, États-Unis) 6. Snow White and the Huntsman (Blanche-Neige et le chasseur), de Rupert Sanders (2012, États-Unis) 7. The Hunger Games, de Gary Ross (2012, États-Unis) 8. Mars Attacks ! (Mars... [Lire la suite]

Janette Scott dans The Old Dark House (William Castle, 1963) [ sommaire ici ]

Stanley Kubrick et Tracy Reed, tournage de Docteur Folamour (Dr. Strangelove or: How I Learned to Stop Worrying and Love the Bomb, 1964) [en bas, les mêmes avec George C. Scott]

Tiens, Pernell Roberts a passé l'arme à gauche. Il avait joué dans un nombre infini de séries télévisées, souvent proches du western. Il fut surtout un des piliers de Bonanza (dans le rôle d'Adam Cartwright, ci-dessus), et endossa un peu plus tard le rôle-titre de Trapper John, MD. Au début de sa carrière, dans Ride Lonesome, il composa avec James Coburn un de ces duos de salauds sympathiques que le grand Budd Boetticher aimait glisser dans les pattes du justicier grognon joué par Randolph Scott. haut : Pernell Roberts dans... [Lire la suite]

Dans une vie antérieure, j'ai remué beaucoup d'air et excédé quelques banquiers, directeurs de festivals et patrons de cinémathèques, dans de vaines tentatives de rassembler le  budget pour (faire) traduire en français et (faire) éditer la formidable autobiographie de notre rejoneador préféré --- incidemment un des plus grands réalisateurs de westerns de tous les temps. En tout cas le plus grand à la Columbia entre 1954 et 1960. Bud est mort un peu plus tard et l'eau a coulé dans les rios californiens. Je relis de temps en... [Lire la suite]

Lizabeth Scott

No Malice Cary Grant, Randolph Scott

Réponse à la dernière devinette. Un dimanche chasse l'autre.