17 juillet 2022

Woody Allen: Vendredi soir, après l'turbin

Wallace Shawn et Christoph Waltz, Rifkin's Festival ~ « Ce n’est plus aussi simple qu’avant. (Même Francis Coppola doit financer lui-même Megalopolis.) Il fut un temps où le vendredi soir, en sortant du boulot, si on voulait aller voir un film en salle, il y avait l’embarras du choix. Maintenant, il se passe parfois deux mois sans qu’un film valable ne sorte. De temps en temps, tous les deux ou trois mois, on voit un film intéressant d’un metteur en scène qui prend l’art cinématographique au sérieux, comme Paul Thomas... [Lire la suite]
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26 février 2021

I won't dance, Madam with you

à l'origine: Fred Astaire à Ginger Rogers (qui appelle les Cosaques à la rescousse) dans Roberta, William A. Seiter 1935   ~ en 1995 : "I won't dance (don't ask me), Madam with you" est la réponse de la bergère (Brendon Fraser) au berger (Peter Coyote) dans Professional Man, chouette adaptation par Soderbergh d'une queer story de David Goodis.
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15 janvier 2018

nos films préférés en 2017 : Gashade

Last Of The Comanches (Le Sabre et la Flèche), André De Toth, USA 1953 (Broderick Crawford, Lloyd Bridges) * Reflections in A Golden Eye (Reflets dans un oeil d'or), John Huston, USA 1967 (Robert Forster) * "Big Little Lies" [saison 1], David E. Kelley, USA 2017 (réal. Jean-Marc Vallée) * Terrore Nello Spazio (La Planète des vampires), Mario Bava, Italie 1965 (Barry Sullivan, Norma Bengell) * Angèle Et Tony, Alix Delaporte, France 2010 * "The Knick", Steven Soderbergh, USA 2014 (Clive Owen)
28 août 2014

Hotties Reading 359

Michael Angarano (à g.) dans The Knick [S01E03], Steven Soderbergh, 2014
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01 janvier 2012

Nos films préférés en 2011 : Thierry Horguelin

Liste lacunaire et hasardeuse, dans la mesure où je persiste dans ma mauvaise habitude de n’aller plus guère au cinéma et de rater consciencieusement même des films que j’ai très envie de voir (par exemple Drive et Une séparation). Pater, d’Alain CavalierPlaisir enfantin et malicieux de jouer avec le cinéma, d’inventer un dispositif pirandellien inédit, d’une évidence limpide à la projection (mais quasiment impossible à expliquer après coup en deux mots à quelqu’un qui n’aurait pas vu le film), de repenser le paradoxe du comédien,... [Lire la suite]