30 juillet 2016
État d'urgence, surveillance et exhibitionnisme des réseaux sociaux
« C’est surtout ne pas vouloir tenir compte de ce que le problème des libertés est déjà pour l’essentiel réglé, et qu’il s’est réglé d’un commun accord entre, d’un côté, une volonté de surveillance certes pour partie policière mais pour l’essentiel marchande...