
J'aime que Dominique Païni associe à Restless (« Un des plus beaux films de cette année, dont l'apparent caractère hors mode lui confère le très contemporain désir suave de faire le bien ») le souvenir de Lewis Carroll et de Percy Shelley, mais surtout celui de Baudelaire, dont il cite quelques vers de A celle qui est trop gaie :
Ta tête, ton geste, ton airSont beaux comme un beau paysageLe rire joue en ton visageComme un vent frais dans un ciel clair.Le passant chagrin que tu frôlesEst ébloui par la santéQui jaillit...
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