21 décembre 2024
Les statues meurent aussi (le ridicule tue, en effet)
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J’ai essayé de visionner tout à l’heure le dernier film de Mati Diop. Stupéfaction dès l’ouverture, les sous-titres français apparaissent en écriture dite « inclusive ». C’est une voix off. Peut-être s’agit-il des propos d’une statue. Une statue « genrée », sans doute. Je n’en saurai pas plus. Cette ineptie a fichu mon lecteur en court-jus, il s’est éteint illico. De Paris au Dahomey/Bénin, le ridicule ne connaît pas de frontières.
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