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le vieux monde qui n'en finit pas
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10 janvier 2025

Nos films préférés en 2024 : Jean-Pierre Bouyxou (1)

Résolument subjective, cette liste ne prétend pas être celle des meilleurs films de l’année. Il s’agit simplement de ceux qui, chefs-d’œuvre absolus ou nanars insondables, m’ont apporté le plus de plaisir ou d’émotion. Impossible d’en éliminer un seul : je les ai tous aimés à la folie, pour des raisons différentes, parfois contradictoires mais, à y bien réfléchir, parfaitement complémentaires. Beaucoup sont des classiques, visionnés pour la énième fois avec un intérêt toujours plus vif, toujours plus profond, toujours plus jubilatoire. Et si aucun titre récent ne s’est glissé parmi eux, croyez bien, m’sieurs-dames, que j’en suis le premier marri.

Attachez vos ceintures, c’est parti mon kiki. Les voici dans l’ordre, ou plutôt le désordre, où ils ont été (re)vus.

King Vidor, The Crowd (La Foule) (USA, 1928)

Tod Browning, Freaks (La Monstrueuse Parade) (USA, 1932)

Fred Guiol, Duck Soup (Maison à louer) (USA, 1927) [+ une grosse quinzaine d’autres courts métrages avec Laurel et Hardy]

Sergio Corbucci, Il grande silenzio (Le Grand Silence) (Italie, 1968)

Georges Méliès, L’Homme mouche (France, 1902) [cm]

Erik Charell, Der Kongress tanzt (Allemagne, 1931)

Erik Charell, The Congress Dances (Allemagne, 1931) [version en langue anglaise de Der Kongress tanzt]

Erik Charell, Le congrès s’amuse (Allemagne, 1931) [version en langue française de Der Kongress tanzt] [Jean Boyer, à qui est presque partout attribuée la coréalisation de cette version du film, n’est crédité au générique qu’en tant qu’auteur du dialogue et des couplets ; à y regarder de près, sa très éventuelle contribution anonyme à la mise en scène n’a pu que se limiter, au mieux, à la direction des acteurs de second plan]

Alberto Cavalcanti, Ventriloquist’s Dummy (Le Mannequin du ventriloque), sketch du long métrage collectif Dead of Night (Au cœur de la nuit) (Royaume-Uni, 1945)$$$

Doris Whishman, Nude on the Moon (USA, 1961)

Stephen C. Apostolof, Orgy of the Dead (Orgie macabre), (USA, 1965)

Gregory La Cava, My Man Godfrey (Mon homme Godfrey) (USA, 1936)

Alexander Mackendrick, The Ladykillers (Tueurs de dames) (Royaume-Uni, 1955)

Nicholas Ray, Johnny Guitar (Johnny Guitare) (USA, 1954)

Marco de Gastyne, Une belle garce (France, 1947)

Ernst Lubitsch, One Hour with You (Une heure près de toi) (USA, 1932)

Antonio Margheriti, Danza macabra (Danse macabre) (Italie, 1964)

Karl Freund, Mad Love (Les Mains d’Orlac) (USA, 1935)

Jean Boyer, Prends la route (France, 1936)

Ernst Lubitsch, The Merry Widow (La Veuve joyeuse) (USA, 1934)

Marcel Carné, Drôle de drame (France, 1937)

Pierre Chenal, Le Dernier Tournant (France, 1939)

Maurice Tourneur, Le Val d’enfer (France, 1943)

Irving Klaw, Enslaved Brunette (USA, 1950) [+ toute une série de courts métrages pan-pan-au-cucul du même réalisateur, interprétés, pour les plus capiteux, par la minouchette Betty Page]

Karl Grune, La Maison jaune de Rio (Allemagne, 1931) [version en langue française de Das gelbe Haus des King-Fu, du même Karl Grune]

Ma-Xu Weibang, Ya ban ge sheng [夜半歌聲] (Le Chant de minuit) (Chine, 1937)

Riccardo Freda, L’orribile segreto del Dr. Hichcock (L’Effroyable Secret du Dr Hichcock) (Italie, 1962)

Riccardo Freda, Maciste alla corte del gran Khan (Le Géant à la cour de Kublai Khan) (Italie, 1961)

William Beaudine, Mom and Dad (Les Fausses Pudeurs), (USA, 1945)

Guy Debord, In girum imus nocte et consumimur igni (France, 1981)

Del Lord, We Want our Mummy (USA, 1939) [+ toute une tripotée d’autres courts métrages avec les Trois Stooges]

Terence Fisher, Dracula [Horror of Dracula] (Le Cauchemar de Dracula) (Royaume-Uni, 1958)

Robert S. Baker & Monty Berman, Jack the Ripper (Jack l’Éventreur) (Royaume-Uni, 1959)

Bob Mizer, Rambunction Robot (USA, 1964) [+ toute une palanquée d’autres courts métrages beefcakeux du même monsieur]

Robert Aldrich, The Killing of Sister George (Faut-il tuer Sister George ?) (USA, 1968)

Tod Browning, Dracula (USA, 1931)

James Whale, Frankenstein (USA, 1931)

Ernst Lubitsch, The Love Parade (Parade d’amour) (USA, 1929)

James Whale, The Invisible Man (L’Homme invisible) (USA, 1933)

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