Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
le vieux monde qui n'en finit pas
Publicité
le vieux monde qui n'en finit pas
Publicité
le vieux monde qui n'en finit pas
Publicité
Visiteurs
Depuis la création 1 435 321
Newsletter
Derniers commentaires
Publicité
15 octobre 2008

La danse de la tarte aux quetsches

Plus amusante que le Big Apple, plus récente que le Swing, plus moderne que le Yam, voici...
The Large Tart
... la nouvelle danse qui fera fureur dès qu'on saura ce que c'est.

tartequetsches

« The Large Tart, en français: la grande tarte, a tout ce qu'il faut pour détrôner le Big Apple, alias la grosse pomme. Voici comment se décompose notre danse: les deux partenaires se tournent le dos, et sur une musique appropriée esquissent le pas du derviche tourneur en disponibilité; sur l'extrémité du quatrième temps de la deuxième mesure à 12/8, ils se retournent rapidement et crient: Hrzum !, en samoyède, tout en fléchissant alternativement sur le genou gauche et le poignet droit; ils exécutent ensuite, et chacun pour son compte personnel, une aile de pigeon qu'ils manquent et, au moment précis où ils retrouvent leur équilibre, ils s'envoient mutuellement dans le nez une bonne portion de tarte aux quetsches, d'où le nom de Large Tart donné à la danse en question.
Voilà enfin un pas qui honore la chorégraphie internationale et qui offre le double avantage d'être d'une exécution facile et d'une difficulté de réalisation presque insurmontable.
N.B - Cette danse peut également se décomposer dans de l'acide sulfurique. »

Pierre Dac, 25 novembre 1938
(aimablement repris dans L'Os à Moelle, 13 mai 1938-7 juin 1940, Omnibus, 2007)

barbe

Publicité
Commentaires
J
Salut John,<br /> <br /> c'est bien ce que je voulais dire : un rendez – vous galant avec la folie au paradis et non : <br /> un rendez – vous galant avec la folie de la guerre<br /> <br /> <br /> désolée
Répondre
J
Hummm ! Inspiration. Quite a tart indeed !<br /> Jolie, l’assiette ! Déjà vue quelque part. Ça me reviendra. Ne parlons que d’elle, nous présentant si joliment un cul de pâte feuilletée encore tiède, glacé au sucre perle et garni d’impériales mandorles cuites à la moscouade, sans doute aussi parfumées à la cannelle, et dont les pulpeuses lèvres baignent dans la divine liqueur d’Alfred (Bird) rehaussée de vieux cognac hédonisto-gustatif. Sign. : le cuisse-tôt.
Répondre
Publicité