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le vieux monde qui n'en finit pas
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3 février 2010

Hotties Reading 119

anonyme2

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Commentaires
J
Bien sûr que c'est elle ! La sublime, la divine, l'incomparable Marlene Dietrich, la plus belle gonzesse de l'histoire du cinéma, dans THE FLAME OF NEW ORLEANS de René Clair.
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G
Si c'est Marlene Dietrich, ça lui ressemble aussi, d'aileurs.
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B
Si c'est pas Marlene Dietrich, ça lui ressemble furieusement !
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J
Bonjour Germaine Vous avez un beau jupon*<br /> Et le vent souhaiterait jouer avec lui<br /> La lumière illumine son crépon<br /> L’eau calme du baquet par dessous s’en fleurit <br /> Et moi attristé j’admire vos genoux ronds<br /> <br /> A ce journal dans vos mains je voue ma haine<br /> « Une stupide tu me caches Germaine ! »<br /> <br /> Juponaille, pourquoi lire ce régional ?<br /> Une seconde levez vos yeux sur mon émoi<br /> Pour que je puisse enfin, grand sentimental<br /> Oser vous demander d’un regard qui flamboie :<br /> « N’allez-vous pas nous montrer votre port royal ? »<br /> <br /> Le premier vers est d'Apollinaire, les autres,… ah ! les autres.
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