Eli Wallach
S'il nous fallait une seule raison d'aimer The Ghost Writer, on l'aimerait déjà follement pour la scène où Eli Wallach joue les vieux ronchonneurs (95 ans) qui savent mieux que vous et moi comment se comportent les courants traîtres de l'Atlantique Nord. Et l'on se demande: Est-ce pour faire hurler à la mort les chiens et les procureurs [je cite l'ami Valentin] que Polanski a engagé l'acteur qui jouait les satyres, il y a cinquante-quatre ans, devant une Carroll Baker à peine plus âgée que l'Alice de Burton? Allez savoir. (C'était dans Baby Doll d'Elia Kazan. Les dialogues étaient signés Tennessee Williams.)
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Baby Doll. Sometimes, big shot, you don't seem to give me credit for very much intelligence at all. I've been to school in my life - and I'm a magazine reader !
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Baby Doll. Excuse me, Mr. Vacarro, but I wouldn't dream of eatin' a nut that a man had cracked in his mouth.
Silva Vacarro [Eli Wallach]. You've got many refinements.
Baby Doll. Thank you.