Voilà ce qu’en dit Alex Taylor dans « Bouche bée, tout ouïe… ou comment tomber amoureux des langues » (JC Lattès - mars 2010).<br />
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Le charme d’Audrey Hepburn est en partie dû au fait que, de façon presque imperceptible, son anglais conserve les traces de quelques sons appris auprès de son père flamand, notamment les « p » et les « t » beaucoup moins aspirés et plus « secs » du néerlandais.