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le vieux monde qui n'en finit pas
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27 août 2010

Points de sus

Aux amis auteurs, éditeurs, rédacteurs en chef qui le plaisir me font
de me donner à relire, leurs textes(*)

~

« Pour l'atelier journalisme. Les points de suspension en fin de paragraphe: c'est souvent du mauvais maquillage, comme un rouge à lèvres qui bave un peu. »

Hédi Kaddour, Les Pierres qui montent, Gallimard, 2010, p.146.

~

(*) Stylish, nein ?

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Commentaires
G
Les points de suspension, en général, qui font un clin d'oeil au lecteur...<br /> Ils paraissent induire un commentaire paraît-il évident que l'auteur décide par coquetterie, de ne pas établir lui-même...<br /> En fin de paragraphe ou pas...<br /> Insupportable... <br /> Quant aux phrases sans verbe...<br /> Argh...<br /> C'est du style à la mords-moi-le-noeud...<br /> Pour les points d'exclamation, c'est itou! (oui, enfin, ou presque)
Répondre
G
auto-corrections : <br /> <br /> 1/ grosse erreur: TAKE ME (1968) et pas 'Girl'.<br /> <br /> 2/ vérifié le DVD: c'est bel et bien de la bouche (rouge-à-lèvres / noir-à-lèvres ?) et pas des yeux que le maquillage de la fille commence à baver dans ce très beau film.
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G
gloups [failli en mettre ici]<br /> <br /> je me sens un peu visé!<br /> <br /> [euh, les points d'exclamation, on peut?]<br /> <br /> - - -<br /> <br /> sinon, en passant, 'Girl' (Stephen Dwoskin, 1968) est un court métrage où la dégoulinure de maquillage (à partir de l'oeil, dans ce cas-ci) touche au sublime...
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