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le vieux monde qui n'en finit pas
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21 juillet 2011

Midi-Minuit Fantastique 12

mmf 14

Raquel Welch dans One Million Years BC (Un milion d'années avant Jésus-Christ)
de Don Chaffey, 1966

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Commentaires
G
J'ai pas l'impression de faire partie d'un gros tas informe du lectorat qui réagit par réflexe animal ou goût de la nostalgie, mais c'est subjectif, peut-être...<br /> Soumis animalement au réflexe ovin de comparer au simple coup d'oeil l'ancien et le nouveau MMF, de par sa couverture seule en laissant le fond des articles de côté puisque c'est bien le sujet (pour le fond de MMF, on pourrait se trouver parfois plus critique, si on vient à en parler), je me dis encore au premier jet naïf et quasi-simiesque que les couvertures à partir du 14 sont bien moins singulières que la série 1-13, avec certes, leur charme spécifique (le côté "démodé" de la 14 est un charme aussi) mais il y a une hiérarchie entre les charmes, Gérard Lenne!<br /> On a vu aussi des revues améliorer leur maquette par après, ce qui est bon.
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G
Lorsqu'une revue change de formule, il y a TOUJOURS une partie de son "lectorat" qui, par réflexe, nourrira une nostalgie de l'ancienne formule. Voir la sempiternelle querelle engendrée par le culte des "Cahiers du cinéma" couverture jaune. Je tiens pour ma part que les deux formules de MMF ont leurs charmes spécifiques : l'esprit change, ou du moins il évolue, c'est logique et inévitable. On ne peut pas rester éternellement marginal ! On ne peut non plus reprocher son succès à une équipe de précurseurs. Le nouveau MMF, c'était la consécration de l'ancien, sa victoire.
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G
Vous me fatiguez, Bibi, rideau pour moi.<br /> <br /> <br /> (au fait, le truc de mal orthographier volontairement le nom de votre interlocuteur sent l'adolescence mal digérée, tomber là-dedans, franchement...)
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B
McCay, voyons ! McCay, pas McKay... À moins, Gachadet, que l'orthographe des noms propres ne vous indiffère.<br /> Ainsi, vous n'aimez ni Little Nemo ni, plus généralement, Winsor McCay ? C'est dommage pour vous, je vous assure. Vous vous privez d'un grand plaisir. Mais, après tout, peut-être ne savez-vous pas que McCay fut un des principaux pionniers du cinéma d'animation. Son "Gertie le dinosaure" est une merveille : soixante-quinze ans avant "Qui veut la peau de Roger Rabbit", un personnage réel (en l'occurrence McCay en personne) et une créature dessinée se côtoyaient sur l'écran. Mais, après tout, peut-être n'êtes-vous pas fan de cartoons. Sans doute vaut-il mieux goûter l'art de Tex Avery, de Chuck Jones et de Bob Clampett pour pouvoir apprécier à sa juste valeur celui de McCay...<br /> Cela dit, vous avez raison sur un point, gars Chadé : vivent Spirou et Fantasio (en conjuguant tout de même le verbe vivre à la troisième personne du pluriel, si cela ne vous dérange pas) !
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G
Little Nemo est l'une des bandes les plus stupides et ennuyeuses de l'histoire de la bd, W McKay me gonflait déjà dans mes culottes courtes, vive Spirou et Fantasio.
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