L'empereur déchu et le cuisinier hongrois

« Vous refusiez de croire qu'on en arriverait là. Vous voyez que vous aviez tort. »

Maximilien, empereur du Mexique (Paroles prononcées avant son exécution, à Queretaro, en 1867, à l'intention de son cuisinier hongrois.) [Cité par Eric Ambler in Dr. Frigo, 1974]

Comments

[nosotros.incontr]

Hier, et sur tous les tons, les journalistes répétaient comme un leitmotiv -" Les Français ont tranché...". Pour autant que nous en sachions hier soir, même au plus profond de la nuit, même au petit matin, aucune tête de con n'a roulé dans la sciure...Mieux, les protagonistes , vainqueurs et perdants confondus, se sont "républicainement congratulés tandis que les esclaves modernes acclamaient leurs nouveaux maitres tout en rêvant de pouvoir apparaitre " aux informations" dans les lucarnes trompeuses que sont les écrans de mis à leur disposition...



La "ferveur idolâtre" a retenti longuement dans tout l'hexagone, à peine couverte par le brouhaha "litanueux" des journalistes qui, de concert, dans l'attente servile et fébrile de savoir quelle sera leur propre place sur le podium, se livraient à du remplissage des vides par du

rabachi-rabacha en boucle.



Le seul point à peu près positif réside essentiellement dans la fin apparente du règne de Sarkozy renvoyé aux et latrines de l'ombre.



Maintenant renvoyons à F.Hollande cette considération que nous avait inspiré le précédent "président socialiste" et que nous avons adapté à la circonstance:



Le septième "coup d’État permanent" de la V.ème Raie publique est avancé.