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le vieux monde qui n'en finit pas
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14 février 2015

Nos films préférés en 2014 : Jérôme Baron

Nonobstant le nombre de films que je ne suis pas parvenu à voir (dont Saint Laurent et Night Call) – je viens de finir les deux Lars von Trier qui sont d’une nullité crasse à tous points de vue ! Quel prévisible combinard !) et tous ceux que j’ai malheureusement vus en remerciant le Ciel de ne pas avoir à les partager avec d’autres, voici donc une liste : appelons-la d’ailleurs ma liste ! J’ai l’impression que ma capacité d’émerveillement en a tout de même pris un sacré coup ! 

Alors voilà, avant qu’il ne soit trop tard et que 2015 nous abreuve de chefs-d’œuvre :

adieu au langage4

1. Adieu au langage, Jean-Luc Godard (Suisse-France, 2014)

sunhi

2. U ri Sunhi (Sunhi) et Ja-yu-eui eon-deok (Hill of Freedom),
Hong Sang-soo (Corée, 2013 & 2014)

~

Puis, sans ordre de préférence :

La Chambre bleue, Mathieu Amalric (France, 2014)

Edge of Tomorrow, Doug Liman (États-Unis, 2014)

haganenet

Haganenet (L’Institutrice), Nadav Lapid (Israël, 2014)

Jersey Boys, Clint Eastwood (États-Unis, 2014)

Maps to the Stars, David Cronenberg (Canada, 2014)

At Berkeley, Frederick Wiseman (États-Unis, 2013)

Cavalo Dinheiro, Pedro Costa (Portugal, 2014) Une proposition forte, un des rares films
cette année où l’on voit la nécessité qui oriente le projet faire corps de tout ce qu’elle filme.

 ~

Je ne ferai pas non plus la liste des films revus avec émotion cette année mais je salue les découvertes faites à la Cinémathèque de certains films de Fukasaku dont je ne connaissais que les titres. Parmi ceux-là, la série des "Nouveaux combats sans code d’honneur" mérite plus que le détour et même une sérieuse prime au second volet de la trilogie.

Et puisque John Ford est roi en cette fin d’année, je rejoins avec un plaisir certain Jean Narboni sur les pas de When Willie Comes Marching Home (Planqué malgré lui, 1950), s’il fallait citer un des films toujours laissé à l’arrière-plan de l’œuvre. Je l’ai revu la semaine passée pour la sixième fois, c’est-à-dire autant que The Sun Shines Bright (1953) ressorti récemment sur nos écrans. Et c’est formidable !

when willie comes

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