15 avril 2016
Benoît, for ever
Un certain 15 avril, Benoît Lamy succombait sous les coups de son compagnon, Perceval. Affaire brutale, moins criminelle qu'amoureuse. Benoît était depuis longtemps, excusez l'assonance, un de nos meilleurs amis (et le plus redoutable de mes partenaires au ping-pong). C'était aussi un des cinéastes belges qui comptaient, entre Bucquoy et Lehman. Les années passent, il nous manque toujours beaucoup. Ses meilleurs films étaient Home, sweet home (la révolte des pensionnaires d'un mouroir) et La vie est belle (coréalisé par Ngangura Mweze: musique et dérive demyesque en compagnie de Papa Wemba dans le Kinshasa populaire de l'époque).
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Quoi qu'il arrive...
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