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le vieux monde qui n'en finit pas
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9 juillet 2016

La Rochelle 17

Cent quinze minutes plus tard (et trente ans après une première vision). Pas de la tarte, décidément, Gertrud. Pas du cinéma pour moi. Le drame bourgeois dans son horreur. Des gens très bien ont pourtant essayé de m'expliquer. Mais j'essaie toujours de comprendre qui sont ces êtres, riches et puissants, qui se font du bien à se faire du mal ("L'amour c'est la souffrance", mot d'auteur) sur une planète inconnue de mézigue.
*
Alien, qui ouvrira tout à l'heure la Nuit des planètes interdites, précisément,
est beaucoup moins anxiogène que Gertrud.

alien

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Commentaires
G
Tout à fait d'accord sur GERTRUD, le prototype du film qu'on s'est forcés à voir et à admirer, dans les années 60, parce ce que Cahiers et d'autres la jouaient à l'intimidation.<br /> <br /> Je préfère aussi VAMPYR, même si on s'ennuie aussi pas mal, il y avait matière à un bon court métrage....
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G
mais le problème de Gertrud c'est que le film fut créé par l'obsession de l'amour pur, l'obsession pour une pureté quelle qu'elle soit est déjà douteuse, dés le début elle entache le projet et le bancalise, qu'est-ce que la pureté et pourquoi l'admirer? Gertrud ne voulait être qu'amour pur, pauvre femme, du coup elle n'aimait rien de peur de bâtardiser l'amour. Ceci dit j'ai vu le film 3 fois de suite et à chaque fois je me suis endormi pendant les mêmes vingt minutes, j'ai abandonné tant pis pour ces vingt minutes-là.<br /> <br /> au moins avec Vampyr il ne se posait pas ce genre de question, Carl, Vampyr ça c'est bien;
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