Nos films préférés en 2018 : Geneviève Payez

Série

Twin Peaks III

Mes palmes d’or

Beoning [Burning], Lee Chang-dong (Corée 2018)

Lucky, John Carroll Lynch (États-Unis 2017)

The Rider, Chloé Zhao (États-Unis 2017)

~

D’autres films appréciés pour diverses raisons et sans ordre de préférence

Lazzaro Felice, Alice Rohrwacher (Italie 2018)
[pour le rappel de la grande époque du cinéma italien]

Mademoiselle de Joncquières, Emmanuel Mouret (France 2018)
[pour Édouard Baer vraiment parfait]

Den Skyldige [The Guilty], Gustav Möller (Danemark 2018)
[pour la performance de faire un thriller en audio-description]

The Sisters Brothers, Jacques Audiard (France 2018)
[pour les acteurs et pour le contexte « ruée vers l’or »]

Bécassine, Bruno Podalydès (France 2018)
[parce que tout ce que fait Bruno Podalydès me convient
(et pardon aux Bretons qui n’ont pas apprécié)]

The Death of Stalin, Armando Iannucci (Royaume-Uni 2017)
[pour l’humour noir et pour Steve Buscemi brillant comme toujours]

I Feel Good, Benoît Delépine & Gus Kervern (France 2018)
[pour toutes les super-trouvailles et notamment l’irrésistible chute]

Lady Bird, Greta Gerwig (États-Unis 2017)

Et un documentaire sur l’architecte Richard Meier :
Xmas Meier Living Architecture, Ila Béka et Louise Lemoine (France 2013)
[pour les témoignages désopilants des voisins d’une improbable église futuriste
construite dans un quartier populaire de Rome]

Comments

[Geneviève]

Et comme toujours, en lisant les autres listes, je m'aperçois que j'ai oublié plusieurs de mes films préférés, notamment "Phantom Thread" et probablement plusieurs autres. Je constate aussi que les sorties en France diffèrent des sorties belges et que nous sommes probablement privés d'excellents films. Et on ne peut pas trop compter sur les rediffusions à la télévision !

[jacques d.]

Le tiercé gagnant est en effet... gagnant, ces trois là étant parfaits... et je suis surtout content d'y voir figurer "the rider" de Chloé Zhao, passé assez inaperçu partout ailleurs (il faut dire que la critique n'a d'yeux que pour Ho-Sang Soo, celui qui, plus vite que sa caméra, pond un film par jour, et ce doit être ce côté performance qui séduit autant, et la répétition aussi sans doute, l'éternel retour du même évitant toute fatigue de quelque nature que ce soit).

Chloé Zhao dont j'ai fini par acquérir "les chansons que mes frères m'ont apprises", l'ayant raté lors de son passage en salle (si tant est qu'il y soit passé).