1 septembre 2021
Mes poules, je les aime, je les tue
Il y a quelques années, il aurait eu droit à quatre lignes dans le Canard, rubrique "Le mur du çon". Grand malade qui s'ignore, cet éleveur-cuisinier qui se croit l'héritier de Brillat-Savarin se voit offrir aujourd'hui une page entière dans le journal quotidien préféré du centre-droit et des profs de fac. Propos choisis :
« Si tu veux que ta volaille ait du goût, il faut lui offrir une vie douce et digne. Mes poules, je les connais, je les aime, et même lorsque je les emmène à l’abattoir, je les remercie pour leur sacrifice. Elles sont respectées jusque dans leur mort. »
Oui, en effet.
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