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le vieux monde qui n'en finit pas
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16 janvier 2024

« Toi tout près de moi »

fillegarçon

L'ami JiPé, à qui je souhaite un bon anniversaire, nous fait écouter ceci. C'est formidable.
La chanson, interprétée par Lilian Harvey et Jean Boyer, cinéaste adoré,
est extraite semble-t-il de La fille et le garçon,
le film de Wilhelm Thiele et Roger Le Bon (1932).

 

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Commentaires
J
Jean Boyer chante «Ville d’amour», toujours du film «Le congrès s’amuse» : <br /> <br /> https://www.youtube.com/watch?v=TJFSMjQ4RIg<br /> <br /> Celle-là, j’ai le 78-tours. C’est une des perles de ma collection et je ne m’en séparerais pour rien au monde.<br /> <br /> J’ai cru jusqu’à ces jours derniers qu’il s’agissait du seul air enregistré par l’épatant Jean Boyer — très exactement jusqu’à la découverte sur YouTube de son délicieux duo avec Lilian Harvey.<br /> <br /> Si vous ne trouvez pas ce mec absolument génial, allez voir chez les Grecs si j’y suis. Je ne vous parle plus !
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J
«Serait-ce un rêve ?» : Lilian Harvey dans un extrait du film d’Erik Charell et Jean Boyer «Le congrès s'amuse» (1931). <br /> <br /> C'est là :<br /> <br /> https://www.youtube.com/watch?v=JstuFwwqdUQ<br /> <br /> Une des plus belles séquences musicales de toute l’histoire du cinéma : six minutes de travelling pour une chanson. Éblouissant !<br /> <br /> Les opérettes de la UFA, dont le succès (mérité) fut colossal au début des années 1930, étaient toutes filmées dans les studios berlinois en deux versions simultanées, l’une allemande (la plupart du temps avec Lilian Harvey et Willy Fritsch), l’autre française (avec Lilian Harvey et Henri Garat). Par exception, «Le congrès s’amuse» en eut aussi une troisième, anglaise celle-là (également avec Lilian Harvey et Henri Garat).<br /> <br /> Jean Boyer – encore débutant – était souvent le parolier des chansons pour la version française. À l’occasion, c’est lui qu’on chargeait de réaliser celle-ci (dont la mise en scène reproduisait plus ou moins fidèlement celle de la version matricielle allemande) : c’est notamment le cas ici.<br /> <br /> Personnellement, je trouve les films musicaux de la UFA dignes de ceux qu’Ernst Lubitsch, à la même époque, tournait lui aussi en double ou triple version (avec Jeannette McDonald et Maurice Chevalier) à Hollywood.<br /> <br /> Je considère par ailleurs Jean Boyer comme un des plus grands cinéastes français…
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