20 janvier 2024
Tati et la tristesse
« J’avais un grand-père, qui était russe, et je lui ressemble beaucoup. Cette tristesse dont vous parlez, c’est un peu mon côté slave, ce fait étrange d’être satisfait par les mauvaises nouvelles, parce qu’on a aussi besoin de mauvaises nouvelles. Mais cette tristesse ne manque pas, il me semble, d’une forme de générosité, de chaleur, dans le manège final [de Playtime] par exemple... » Jacques Tati, Cahiers du cinéma n°199, mars 1968. Cité dans Tati, sous la direction de Alison Castle, Taschen, Cologne 2019.
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