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le vieux monde qui n'en finit pas
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angot
4 septembre 2023

Vuillemin, irréprochable

Vuillemin, irréprochable
Vuillemin, toujours irréprochable, toujours à contre-courant.La romancière Christine Angot, qui admet qu'elle n'a pas lu ses livres, trouve que ses couvertures sont pas mal du tout. Décodage
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9 avril 2023

De la littérature-produit

De la littérature-produit
Dans un article publié par Le Monde diplomatique, Hélène Ling et Inès Sol Salas montrent comment le marché passe l’édition à la moulinette des cases, des marques, des territoires aisément identifiables par le consommateur/lecteur (et le libraire) et de...
5 janvier 2020

... la bonne et moi

... la bonne et moi
Certaines horreurs langagières ont le don de me tremper le nez dans la moutarde. L'emploi des vocables "papa" et "maman" hors de leur fonction vocative en est une. Je me réjouis donc, cette semaine, de voir Camille Laurens [au détour d'une chronique élogieuse...
4 octobre 2017

The Man I Love

Un standard, un chef-d’œuvre de George Gershwin, par deux musiciens de génie. Oui. Sortant d'une projection de la déprimante ratatouille de Mmes Denis et Angot, on a envie de jouir un peu de la beauté du monde. The Man I Love va nous y aider.
30 mai 2016

Angot Renaud Lévy

Un ami de Paris XIe nous envoie ce qui suit. "Dans Libération du samedi 28 mai, page 26, sur quelques lignes, Christine Angot se livre à une vibrante apologie du film Peshmerga et de son génial réalisateur, le grand, l'immense Bernard-Henri Lévy. Elle...
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