28 mars 2018
L'irremplaçable poésie de Sophie Calle
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« J’avais six ans et j’habitais rue Rosa-Bonheur chez mes grands-parents. Le rituel quotidien voulait que je me déshabille tous les soirs dans l’ascenseur de l’immeuble et arrive ainsi toute nue au sixième étage. Puis je traversais à toute allure le couloir...