24 avril 2018
Vive la réappropriation individuelle
/http%3A%2F%2Fstorage.canalblog.com%2F20%2F50%2F456997%2F119865664_o.png)
La belle utopie d’Alex Pina, La Casa de Papel , qui commence comme un film de braquage un peu incongru (pour faire court: entre Asphalt Jungle et The Heist , sous le soleil de Madrid) s’achève, une vingtaine d’heures plus tard, comme un réjouissant tract...