Tous les blogs
Suivre ce blog
Administration
Connexion
+
Créer mon blog
MENU
Tous les blogs
Recherche
Rechercher
Connexion
+
Créer mon blog
Suivre ce blog
Administration
Partager
le vieux monde qui n'en finit pas
Publicité
Publicité
le vieux monde qui n'en finit pas
« La beauté a disparu et ne revient pas. » [W.H. Hudson] La vie moderne et le temps qu'il fait. L'agonie du vieux monde. Le printemps silencieux.
Accueil du blog
Créer un blog avec CanalBlog
Catégories
cinéma
états-unis
littérature
subversion
musique
vidéo
belgique
nécro
dessin
actrices
royaume-uni
japon
zoologie
italie
vieil'art
photo
nantes
allemagne
bretagne
godard
bouyxou
delvosalle
godin
espagne
dieu
russie
chine
hitchcock
canada
Articles récents
Grâce.
Hotties Reading 910
Tatsuya Nakadai, printemps 2025
Tatsuya Nakadai 1932-2025
Armistice à Écaussines
Soul Eyes
Frankenstein, Wrightson, Del Toro, Elordi et les autres
Whisper Not 4 : Wes Montgomery trio
Musée de la vie ordinaire, deuxième commmuniqué
Musée de la vie ordinaire, premier communiqué
Publicité
Recherche
Visiteurs
Depuis la création
1 445 840
Contacter le propriétaire du blog
Newsletter
Email
Derniers commentaires
Publicité
le vieux monde qui n'en finit pas
>
Categories
>
stahl
stahl
9 novembre 2022
Hotties Reading 755
Irene Dunne et Cora Sue Collins dans Magnificent Obsession , John M. Stahl 1935
Publicité
29 juin 2018
Il cinema ritrovato 27
Rétrospective John M. Stahl Holy Matrimony, 1943
29 juin 2018
Il cinema ritrovato 24
Hommage à John M. Stahl Leave Her to Heaven , 1945
27 juin 2018
Il cinema ritrovato 16
Hommage à John M. Stahl When Tomorrow Comes , 1939
26 juin 2018
Il cinema ritrovato 13
Hommage à John M. Stahl Seed , 1931
Publicité
25 juin 2018
Il cinema ritrovato 11
Hommage à John M. Stahl Immortal Sergeant, 1943
25 juin 2018
Il cinema ritrovato 9
Hommage à John M. Stahl The Woman Under Oath, 1919
11 mai 2017
Hotties Reading 475
Dorothy Black, Imitation of Life, John M. Stahl 1934
8 juillet 2016
La Rochelle 13
Réédition de The Heiress , adaptation par William Wyler (1949) de Washington Square . Splendeur du texte de James, complexité psychologique du récit, magnificence des décors qui permet à Wyler de faire son Albert Lewin (merci Guy), luxe de la reconstitution...
Publicité