Suivre ce blog
Administration
Connexion
+
Créer mon blog
le vieux monde qui n'en finit pas
Publicité
Publicité
le vieux monde qui n'en finit pas
« La beauté a disparu et ne revient pas. » [W.H. Hudson] La vie moderne et le temps qu'il fait. L'agonie du vieux monde. Le printemps silencieux.
Accueil du blog
Créer un blog avec CanalBlog
Catégories
Cinéma
États-unis
Littérature
Subversion
Musique
Vidéo
Belgique
Nécro
Dessin
Actrices
Royaume-uni
Japon
Zoologie
Italie
Vieil'art
Photo
Nantes
Allemagne
Bretagne
Godard
Bouyxou
Delvosalle
Godin
Espagne
Dieu
Russie
Chine
Hitchcock
Canada
Articles récents
Stéphane mercurio à dati
Fdj 277 : chris et maciek
Ida lupino à la cinémathèque française
Le feu de tourbe
Hotties reading 892
Masters of american comics : gary panter
Fdj 276 : paul reubens & matt wolf
Lectures pour tous : boualem sansal
Voutch, plus que parfait, comme d'hab'
Ciao, mr. blonde (2) stuck in the middle with you
Publicité
Recherche
Visiteurs
Depuis la création
1 436 447
Contacter le propriétaire du blog
Newsletter
Email
Derniers commentaires
Publicité
le vieux monde qui n'en finit pas
>
Categories
>
vanel
vanel
16 avril 2023
FDJ 227 : Jean Epstein
Germaine Rouer, Charles Vanel dans La femme du bout du monde, 1938
Publicité
28 septembre 2022
Sylvia Kristel, 70 ans
« (...) Jamais Emmanuelle n'aurait eu un tel succès sans Sylvia Kristel, actrice fantastique qui n'a pas eu les films qu'elle méritait. Alice ou la dernière fugue [Claude Chabrol, 1977] est l'un des rares à lui rendre justice. Dans la grande maison déserte,...
16 octobre 2019
Lumière 2019, 9
"La femme est le feu, l'homme est l'étoupe, et le diable souffle." [proverbe grévillien] Le diable souffle , de Edmond T. Gréville, 1947, est un sommet du cinéma français de l'immédiat après-guerre. En tout cas le film le plus novateur présenté cette...
6 mars 2019
Hotties Reading 567
Annabella et Charles Vanel, L'équipage, Anatole Litvak 1935
8 juillet 2016
La Rochelle 15
La piu bella serata della mia vita , Ettore Scola 1972. Cette étonnante adaptation par Amidei et Scola d'un roman de Dürrenmatt est un drôle d'objet, mélange un peu branlant de bizarrerie limite fantastique, de charge anti-italienne et d'un concours d'agréable...
Publicité