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le vieux monde qui n'en finit pas
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18 avril 2009

Le vie chez les autres

Lu ce qui suit dans le journal, sous la plume de l'ironique Marion Van Renterghem [Le Monde daté du 17/4/2009]. Ces gens sont bizarres. On se demande ce qui est le plus ébouriffant. Leur bêtise ou leur arrogance, leur mauvais goût en matière de coiffure ou leur mépris des règles du subjonctif. À part cela, mais sans changer de sujet, vous n'avez pas l'impression que Mme Royal est absolument folle à lier ?

folle___lier

André Glucksmann, «l'intellectuel de gauche» qui a ouvertement soutenu Nicolas Sarkozy pendant sa campagne, s'est vu remettre par le président de la République les insignes d'officier de la légion d'honneur, mercredi 15 avril. «Je vais te créer de nouveaux ennuis», a commencé le président. Leur «amitié», «franchement, c’était pas écrit», a-t-il dit. Lui qui a fait de la «rupture» son slogan s'est trouvé un point commun avec l'ancien «nouveau philosophe», le militant maoïste changé en anti-totalitariste à la lecture de Soljenitsyne dans un milieu dominé par la culture marxiste. Le chef de l'État l'a remercié de son «monumental article» paru dans Le Monde avant l'élection et intitulé: «Pourquoi je choisis Nicolas Sarkozy». «Ça m'a bien aidé», a dit M. Sarkozy. Le décoré, militant des droits de l'homme, atlantiste et anti-Poutine, a remercié le président pour sa «volonté d'agir»: «Peut-être que la seule chose qui restera de l'Europe [sous présidence française] est que tu aies réussi à arrêter le déferlement des chars russes.» Son ancien compagnon de route auprès de Boat people, Bernard Kouchner et l'ancien «nouveau philosophe», Bernard-Henri Lévy, l'ont embrassé. 

shockcorridor

 

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Commentaires
M
Moi, je viens de lire ceci sur Le Monde.fr.<br /> " Nicolas Sarkozy a eu de bonnes intuitions mais il n'a pas compris que, pour faire bouger les lignes, il fallait mettre les autres en confiance ". Et ça, c'est qui ? Ce n'est pas Charles Pasqua ni le PDG d'Ikea. C'est Daniel Cohn-Bendit qui, depuis un moment déjà, mérite une triple tarte à la crème sur le visage. On comprend pourquoi il se marre tout le temps : " On a gagné deux paris fondamentaux : la paix et la démocratie ". Ce n'est pas la dernière connerie de Silvio Berlusconi. Non. C'est encore Dany. Et lui, il est pas fou. Il est grassement imbécile.
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