Nos films préférés en 2013 : Gashade

Killer Joe, de William Friedkin (États-Unis, 2011)

Le voyage en Arménie, de Robert Guédiguian (France, 2006)
Chorik Grigorian

Mia Aioniotita Kai Mia Mera (L’éternité et un jour), de Théo Angelopoulos (Grèce, 1998)

Another Day In Paradise, de Larry Clark (États-Unis, 1998)
Vincent Kartheiser

À la place du cœur, de Robert Guédiguian (France, 1998)
Alexandre Ogou, Laure Raoust

Perdita Durango, de Alex de la Iglesia (Espagne, 1997)
Rosie Perez

Le jeune Werther, de Jacques Doillon (France, 1993)
Simon Clavière, Pierre Mezerette

Predator, de John McTiernan (États-Unis, 1987)
Arnold Schwarzenegger

Dernier été, de Robert Guédiguian et Frank Le Wita (France, 1981)
Karim Hamzaoui, X
(C’était l’année Guédiguian !)

True Confessions, de Ulu Grosbard (États-Unis, 1981)
Rose Gregorio, Robert Duvall

The Shining, de Stanley Kubrick (États-Unis, 1980)
Shelley Duvall

La maman et la putain, de Jean Eustache (1973, France)
Bernadette Lafont

Bring Me The Head Of Alfredo Garcia, de Sam Peckinpah (États-Unis, 1973)
Isela Vega

More, de Barbet Schroeder (Allemagne-France-Luxembourg, 1969)
Mimsy Farmer

Diabolik, de Mario Bava (Italie, 1968)
John Phillip Law

Rio Conchos, de Gordon Douglas (États-Unis, 1964)
Edmond O’Brien

Thérèse Desqueyroux, de Georges Franju (France, 1962)
Édith Scob, Emmanuelle Riva

Higanbana (Fleurs d’équinoxe), de Yasujiro Ozu (Japon, 1958)
Kinuyo Tanaka
(merci, Tatum)

Ice Cold In Alex, de J. Lee Thompson (Royaume-Uni, 1958)
Anthony Quayle, Harry Andrews, Sylvia Syms, John Mills
(merci, Bertrand Tavernier)

Touchez pas au grisbi, de Jacques Becker (France, 1954)
Paul Frankeur, Jean Gabin, Michel Jourdan, René Dary

Crime Wave, de André De Toth (États-Unis, 1954)
Gene Nelson, Phyllis Kirk, Gayle Kellogg (?), Sterling Hayden

Apache Drums, de Hugo Fregonese (États-Unis, 1951)
Josephine Parra

Thieves’ Highway, de Jules Dassin (États-Unis, 1949)
Valentina Cortese

She Wore A Yellow Ribbon, de John Ford (États-Unis, 1949)
John Wayne

Fort Apache, de John Ford (États-Unis, 1948)
X*

The Grapes Of Wrath, de John Ford (États-Unis, 1940)
John Carradine
(c’était l’année John Ford !)

The Mad Doctor, de David Hand
(États-Unis, 1933)

Regeneration, de Raoul Walsh (États-Unis, 1915)
Rockliffe Fellowes
(merci BT)

~

* Je n’arrive pas à identifier l’acteur, un de ces "faceless Indians [Ford] killed like zombies" (clic),
selon Tarantino qui a vu tous les films de Ford.

Comments

[Gashade]

Tzvetan, pour ne pas en dire plus Ice Cold raconte l'histoire d'ambulanciers anglais en Lybie en 43, qui prennent soin d'éviter tout affrontement guerrier et se paient le luxe de lier amitié avec un espion boche: pas trop hollywoodien, comme film de guerre, quoi. (remarquez en général, les films de guerre british ont rien à voir avec leurs confrères américains), la preuve: Sylvia Syms, bien que bandante, ne pique jamais de crise de nerfs au contraire à un moment elle fait la leçon à John Mills au bord du sanglot nerveux "Allons, quoi, reprenez-vous, maintenant!", c'est du 1st class ce film!

Ice Cold est en + l'un des rares bons films de JL Thompson qui signera plus tard "Jack Lee".

cheers, amigo, take care...

[Gashade]

merci merci merci Tzvetan

essayez de voir Ice Cold in Alex si ce n'est fait, question film de guerre, ça vaut son pesant de bubble gum!

pour le reste, le boss a réparé le bug des commentaires (sûrement un coup du gang des Entartés Excédés) grâce à moi eh eh eh je suis bon quand même (pardon)

[Tzvetan]

J'aime toujours suivre ces séries de liste, mais je crois que celles de Gashade contiennent les lacunes que j'ai le plus envie de combler !



Que se passe-t-il ? Plus de commentaires sur ce blog ?

Sont-ils au moins lus, ou est-il inutile d'en laisser ?

Quoiqu'il en soit, c'est toujours un plaisir de suivre susauvieuxmonde.

Au plaisir.