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13 mai 2014

Le cinéma, sous les couvertures 1

jean epstein2

Jean Epstein. Une vie pour le cinéma

Joël Daire, 256 p., 16 €, ISBN 978-2-917819-28-9

La tour verte, « La muse Celluloïd », Grandvilliers 2014

~

Figure majeure de l'avant-garde française des années 1920, écrivain et cinéaste, Jean Epstein est mort en 1953 dans l'oubli quasi-général. Soixante ans après, aucune biographie ne lui avait encore été consacrée. S'appuyant sur les riches archives conservées dans les collections de la Cinémathèque française, l'auteur s'attache à décrire le parcours singulier de cet artiste né à Varsovie en 1897, qui sut s'imposer au sein de l'élite intellectuelle du Paris des lendemains de la Grande Guerre. Ami de Blaise Cendrars, Fernand Léger et Abel Gance, Epstein est l'auteur d'une trentaine de films (parmi lesquels Cœur fidèle, La glace à trois faces, La chute de la maison Usher, Finis Terrae). Il n'a cessé d'affirmer l'autonomie du cinéma comme art et comme langage. L'un des premiers, il s'est efforcé d'élaborer une philosophie du cinéma à travers des ouvrages considérés aujourd'hui comme des classiques (Bonjour cinéma, L'intelligence d'une machine, Le cinéma du diable...). C'est donc une vie entièrement dévouée au septième art qui est racontée ici. [L'éditeur]

L'ouvrage contient une filmographie de Jean Epstein, une liste de ses écrits publiés, des orientations bibliographiques et un index.

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Commentaires
Z
Tout au long de mon existence, j'ai été fasciné par le nom de ce cinéaste…Epstein, j'avais l'impression que cela m'ouvrait les portes vers le rêve absolu…j'ai cherché et surtout tenté de voir le maximum de ses films…chose ardue…quelques projections dans les ciné-clubs de l'adolescence de films documentaires et La chute de la maison Usher dans des copies usées, défraichies qui rajoutait à l’impression rêvée…un passage au ciné-club de Claude Jean Philippe dans les 80's…des recherches avec l'âge de l'internet et du DVD, un coffret Avant-Garde de l'autre côté de l'Atlantique…et maintenant Potemkine et la Cinémathèque Française qui édite presque tout…je n'ai plus les moyens de casser ma tirelire…qui est vide…mais ça viendra…je patiente…il n'est jamais trop tard…le souffle n’est plus que court, mais le désir toujours absolu…
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